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Hélène Couturier est une artiste pluridisciplinaire qui écrit des romans  souvent noirs et peint des vaches souvent blanches. 

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collection 2023

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Dans mon sud natal, la vache reste à l'étable pendant que le mâle parade. Dans mon atelier, changement de paradigme. La vache devient totem.

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Historique d'une obsession.

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ENFANT :  Sur les murs de ma ville et dans les cafés, je ne vois que des têtes de taureau affichées. Je pense le taureau hermaphrodite, au même titre que l'escargot.  Ma première vache est une vache de cinéma, celle du film, La vache et le prisonnier, avec Fernandel. J'ai sept ans. Marguerite, la vache, est magnifique et je commence à collectionner les images de vache et les boites à meuh.


ADOLESCENTE : Je découvre que la vache est au cÅ“ur de notre langage. Souvent au service du machisme ambiant qui fait l’éloge du taureau depuis l’antiquité !

Fort comme un taureau, grosse comme une vache !


ADULTE : En 2009, je pars en Inde rejoindre l'activiste féministe Sampat Pal pour l'écriture d'un roman et je découvre les vaches sacrées qui paradent dans les rues pendant que cette fois, ce sont les taureaux qui restent à l'étable.

À mon retour, je concentre mon travail plastique sur la vache. Je travaille d'abord sur toile, puis le désir de placer la vache au centre de nos espaces publics ou privés m'entraine vers un autre support. Je troque alors la toile pour la céramique.

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